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Descente vers Algéciras

Sur la route des Trophystes

On les avait quittés enjoués hier sur la côte basque, on les a retrouvés tout aussi pimpants ce vendredi sur les terres d’Algésiras. Peut-être un peu fatigués, c’est vrai. La première difficulté de cette belle aventure était évidemment de descendre les 1000 bornes qui les séparaient des oliviers andalous, du rocher de Gibraltar, mais surtout de la petite ville d’Algésiras, où les 1200 équipages ont rendez-vous au plus tard samedi midi avant de naviguer vers le Maroc. Si aux cartes, une dizaine de minutes suffisent pour avaler ses 1000 bornes, c’est un peu plus long à bord des jolies 4L.

« On s’est éclaté »

Le grand gourou du raid, Jean-Jacques Rey, avait grandement pointé du doigt le respect et la sécurité sur cette première virée, accompagnée de pluie et de vent. « Soyez hyper prudents et roulez cool », était la consigne du directeur de course. Et force est de constater que les Trophystes ont suivi ces conseils arrivant au compte-gouttes, c’est le cas de le dire vu la météo, sur cette journée du vendredi.

Et à ce petit jeu-là, chacun a sa petite méthode. Certains, comme Julie et Lucas (462), Guillaume et Jérémie (364), Audry et Fanny (508), ont préféré rejoindre le camp d’Algésiras dans la matinée, faisant une sieste réparatrice de quelques heures dans un hôtel ou à même la 4L. « On préférait être tranquille aujourd’hui et faire une bonne sieste dans la tente en arrivant, explique le duo catalan Leo-Anthony (663), confortablement allongé dans leur campement d’Algésiras. On a roulé tranquille, on s’est un peu reposé et on a vraiment connu aucun problème sur la route. Tant mieux, on a envie de dire. » Nous aussi d’ailleurs.

Une courroie cassée, 4 équipages à la rescousse !

D’autres participants ont préféré prendre un peu plus de temps sur la route, profitant pour s’arrêter à Madrid, Séville ou toute autre bourgade espagnole. Tous les chemins mènent à Algésiras, c’est bien connu. Et si certains malheureux ont rencontré quelques soucis mécaniques en chemin, ils ont pu profiter de l’élan de solidarité déjà bien installé entre les Trophystes pour reprendre leur aventure. Comme cet équipage qui a vu sa courroie se rompre avant d’être soutenu par … quatre duos ! En attendant les dernières 4L, les équipages vont maintenant pouvoir se reposer avant le tant attendu briefing de Jean-Jacques Rey demain midi. Reposez-vous bien les Trophystes, le chemin vers Marrakech ne fait que commencer.